Le 21 décembre 2007
En octobre 2007, l’exploitant de la centrale nucléaire de Brennilis publiait une "lettre ’information" tentant ainsi de répondre aux questions soulevées par la CRIIRAD lors de la venue de Bruno Chareyron au mois de Septembre 2007.
Explication de texte
Cette communication a laissé Sortir du nucléaire perplexe, aussi nous vous proposons de décoder la novlangue d’EDF.
Ne vous privez pas de télécharger l’EXPLISITE ENRICHI et de le diffuser autour de vous.
Genre d’information a ne pas laisser sans suite. A mon avis.
dimanche 6 janvier 2008 :
Le Réacteur de Dimona …(Israël)
Un Mystère qui menace tout le Moyen-Orient
Le réacteur israélien de DIMONA affiche des défaillances graves.
Le gouvernement israélien a récemment décidé de boycotter la BBC après que cette dernière ait réalisé un film documentaire sur les armes nucléaires israéliennes. Des sources du Ministère des Affaires Etrangères israélien ont expliqué que le film était antisémite, (Une accusation employée par l’Israël systématiquement à l’égard de ses détracteurs ou critiques).
Le Réacteur de Dimona … Un Mystère qui menace tout le Moyen-Orient
Préface"Le réacteur nucléaire israélien de Dimona est susceptible de fusion incontrôlée, de la même façon que le réacteur russe de Chernobyl il y a deux décennies ; lequel a causé une catastrophe humanitaire et écologique.
Si Dimona explosait, il affecterait un secteur de 500 kilomètres de rayon à vol d’oiseau. Atteignant « jusqu’à Chypre et toutes les régions voisines », a signalé le Docteur Yousef Abu Safiya, Chef de l’Agence palestinienne pour la Qualité de l’Environnement.
Une récente étude conduite par les autorités jordaniennes, suite à une demande de l’Agence palestinienne pour la Qualité de l’Environnement a révélé que les Israéliens sont conscients de la possibilité d’une fusion incontrôlée dans le réacteur de Dimona, ce qui affecterait à son tour la région entière, principalement la ville jordanienne de Tafila au sud.
L’étude a aussi démontré que des substances radioactives s’échappent du réacteur d’une manière qui a augmenté les taux de cancer parmi les populations voisines, en particulier celles de la ville de Tafila.
Ce qui entraîne ces suppositions est en grande partie basée sur des observations terrestres et les dernières images satellites qui montrent que les murs du réacteur ont des fentes, qui montrent que sa durée de vie pourrait être diminuée de moitié.
L’emplacement du réacteur dans le désert du Négev est un emplacement délicat, placé entre l’Egypte, la Jordanie et les territoires de l’Autorité palestinienne. Le réacteur a été construit en 1963, en coopération avec la France et le Royaume-Uni, qui avaient promis de construire le réacteur en échange de l’aide israélienne lors de l’attaque de l’Egypte dans que l’on a connu comme l’Affaire de Suez en 1956. Quant au financement du matériel de gestion du réacteur, les Etats-Unis s’en sont occupé, en plus de l’octroi d’une aide de fourniture d’uranium enrichi a Israël.
Malgré un appui américain total envers la politique israélienne, les USA ont exprimé leurs soucis concernant le réacteur. Des informations ont révélé une tentative américaine de déléguer certains de ses fonctionnaires du programme nucléaire inspecter le réacteur de Dimona, en sus de ceux travaillant pour l’AIEA. Mais Israël a refusé de le leur permettre, continuant ainsi à maintenir le privilège du réacteur d’être "protégé de visite". D’une manière que seuls les Israéliens peuvent se permettre.
Dans une étude commanditée par le Ministère palestinien de la Qualité de l’Environnement des autorités jordaniennes, il a été découvert que le taux moyens de cancer dans le gouvernorat de Tafila, au sud de la Jordanie, est plus élevé que dans les autres gouvernorats jordaniens et dans les autres pays arabes limitrophes.
Selon le docteur Abu Safiya, des taux élevés de cancer ont été enregistrés dans tout les gouvernorats jordaniens du Sud, ce qui a confirmé la contamination possible par des poussières nucléaires qui pourraient provenir de Dimona
Un réacteur obsolète
Comme les rapports l’indiquent, le réacteur est maintenant obsolète, ses murs de confinement se sont usés, ce qui pourrait causer des fuites de radiation à l’extérieur du réacteur ; une situation qui amènera des atteintes dévastatrice à la santé et des dégâts écologiques dans les pays limitrophes.
Selon les mêmes rapports, le réacteur présente une fente dangereuse causée par la radiation "neutronique", qui a y causés des dégâts structurels. En effet les neutrons créent de petites bulles de gaz à l’intérieur du bouclier de béton, le fragilisant et le rendant susceptible de s’effriter.
« Al Bayan », un journal basé aux Emirats arabes unis, a révélé récemment qu’un débat sérieux se déroulait aujourd’hui pour définir s’il fallait stopper le réacteur avant que la catastrophe n’arrive, ou s’il fallait attendre. En sus, un reportage réalisé par la deuxième chaîne de télévision israélienne explique que des douzaines de salariés du réacteur sont morts du cancer et que l’administration du réacteur refuse de révéler le nombre réel d’accidents et d’incidents survenus.
En ce qui concerne les déchets du Réacteur ?
Quant aux déchets résultant des opérations d’enrichissement nucléaire dans le réacteur de Dimona, le docteur Abu Safiya a déclaré qu’il sont ensevelis dans des secteurs limitrophes des territoires contrôlées par l’Autorité palestinienne, ainsi que des territoires jordaniens et égyptiens. Particulièrement dans des secteurs où la nappe phréatique et la direction du vent ne va pas dans la direction d’Israël. Un reportage de la deuxième chaîne de télévision israélienne a révélé que des déchets du réacteur sont enterrés dans des zones à l’est du camp de réfugiés d’Al-Bureij et de la ville de Deir El Balah. Actuellement, l’Autorité palestinienne pour la Qualité l’Environnement essaye d’obtenir une permission d’installer une station d’analyse de l’eau à l’intérieur de la Bande de Gaza pour contrôler ces secteurs, mais Israël refuse.
Durant l’Intifada, les Israéliens ont enterré presque 50 000 tonnes de déchets industriels chimiques dans la Bande de Gaza, à seulement 30 mètres de profondeur, sur un zone de 5 000 mètres carrés, dont ils ont volé le sol arable pour l’emporter en Israël. Et ont enterrés les déchets industriels à la place.
http://iraqwar.mirror-world.ru/Pale...
http://iraqwar.mirror-world.ru/arti...
Dès que les Forces d’occupation israéliennes ont envahi Ramallah, les équipement de vérification des radiations ont été détruits, y compris l’équipement normal de vérification des particules radioactives.
En sus, les IOF ont fait sauter les laboratoires de l’environnement à Hébron et Ramallah et ont détruit tout l’équipement en le jetant du cinquième étage.
Un scoop ?
Un réacteur de base est bon pour fonctionner sans danger 30-35 années avant que cela ne devienne dangereux en raison des radiations et qu’il doive être stoppé et enseveli dans du béton sous un contrôle permanent.
Donc, ou bien ils peuvent croiser les doigts, et continuer à faire fonctionner le réacteur avec l’espoir que rien n’arrive.
Ou bien, une fois que les ETATS-UNIS auront commencé à bombarder l’Iran, ce sera le moment idéal pour une opération « Fausse bannière », (False Flag), contre le réacteur qui pourrait être attribuée à la Syrie, l’Iran ou au Hezbollah.
Ce qui déclencherait un mouvement de sympathie pour les Israéliens et permettrait de démarrer un nouveau réacteur.
G.L.
Traduit par le posteur.
De : Gilong
Le porte parole de l’ EDF & Le directeur de Brennilis M.Dubuis sont ils au "courant" que la communication en comptabilité et économie ne doit pas en principe trop souffrir d’approximation, car des marges d’erreurs de 2,3 voir 5% c’est encore admissible, mais 50% à 70% !
Là ce n’est plus de la communication, ce serait plutot de la propagande voir de la désinformation de publicitaires pour marchands de Tapis !
Des tapis volants ionisants pour des consommateurs qui ne vont plus tardés à comprendre la douleureuse !
Pour mémoire ci dessous extrait OF et une déclaration de Daniel.Camus directeur général délégué aux finances d’EDF !
Etonnant non, ces millions d’euros qui fondent, réapparaissent et puis ??
C’est pas faute d’en avoir parlé ! Des électriciens oui « peut etre » bien ! Des comptables ! Ouille ! Aie Aie ! ..........
Un l@psus i, je voulais dire dans le premier papier .../...plus de deux fois.../... pour les vérifications, hum ! C’est pas assez !
Car en fait la nouvelle équation d’EDF pour le calcul de nos facturations, demande des études plus approfondies.
Faudrait p’tre bien demander à Claude Allègre à nous éclairer, car lui y fut un temps pour nous foutre en boules !
Couacs à répétition dans l’industrie nucléaire.
Intention :
Pour rebondir sur la communication présidentielle nucléaire, synthèse et commentaires de cette Agitation et celle surtout qui n’est jamais mise en évidence au grand public.... merci de me lire.
Un directeur commercial d’AREVA qui était soupçonné de corruption ou d’autres chinoiseries de dessous de table, a été quasiment libéré le jour même des négociations d’exploitation des mines d’uranium au Niger [A] .
Des facturations exorbitantes estimées par la BERD à près 4.4 milliards d’euros pour le démantèlement de 3 centrales nucléaires de l’Europe de l’Est considérées dangereuses par l’AIEA ainsi que le sarcophage de Tchernobyl qui ce chiffre à lui seul à près de 1.4 milliards d’euros. [B]
Les 2.5 milliards d’euros recueillis jusqu’à présent n’y suffiront pas ! La banque Européenne BERD qui s’inquiète de ces inflations, précise qu’elle ne financera pas la totalité de ces chantiers et qu’il est de la responsabilité des pays concernés de chiffrer (Et pour payer ?) les couts réels de ces travaux. Nous voilà rassuré !
En quelque sorte c’est un appel à l’Europe et aux donateurs internationaux ? Ces bonnes âmes qui il y a une vingtaine d’années suite à l’accident nucléaire Ukrainien, s’étaient tous engagés à prendre partie dans cet organisme financier, pour aider les peuples libérés de l’influence des anciens atomiques soviétiques. Bref, encore et encore beaucoup d’approximations et d’estimations car ce n’est pas faute de l’avoir dit, faut malheureusement le rappeler : le nucléaire a ses mystères qu’aucun débat public n’aura pu éclairer.
Une seule chose est sur, pour le contribuable européen et en tous les cas, cet argent qui leur fait défaut actuellement et que nos décideurs ne manqueront pas de nous ponctionner pour ces chantiers ; ces sommes seront toujours ça de moins pour les budgets nécessaires à rectifier les bâtiments mal isolés. Des budgets qui à ce jour ne sont toujours pas programmés ! Comprennent qui pourra ! Voir même pas envisagés ! Pour ces bombes irradiées en attente de démantèlement de l’ex-empire soviétique, faudra bien de toute façon les corriger ces aberrations à ions ! Avant ou après l’isolation thermique des bâtiments. [voir B]
AREVA qui devra désormais débourser 50 % de plus sur les prix de ces extractions d’uranium au Niger, un pays ou la stabilité politique est encore aujourd’hui une utopie, un pays ou les journalistes sont utilisés en fond de négociation d’extraction d’uranium, un pays ou les journalistes n’ont pas accès à ces contrées du nord du Niger, là ou justement AREVA opère à extraire ce minerai atomique.
A propos de ce minerai, son extraction ne servirait elle pas les Chinois ? C’est on jamais ! A fournir l’électronucléaire Chinois ? Des ressources d’uranium issues de ces zones géostratégiques mirifiques ou sévissent les rebelles Touaregs qui revendiquent légitimement leur part de ces 1.5 milliards d’euros d’investissement du fabricant de chaudières nucléaires (voir manipulés par ces anciens maoïstes ?) . [C]
Pendant que l’Europe compte son argent pour les démantèlements nucléaire d’urgence, pendant que le fabricant AREVA négocie maladroitement avec ses clients, lui, l’autre, notre VRP « Agité » tel un Zébul-Ions brade à tours d’avions de ces centrales atomiques de 3.éme 3/4 de génération option : « télécommandées » à tous ces pays qui sans structures de sureté nucléaires, qui sans réseaux de lignes électriques adéquats ! Ce « Omni-pro-nucléaire » en oubli lui ce « majestueux tortueux » de consulter et de faire contribuer l’organisme habilité justement à veiller à ces sécurités ! C’est dire s’il connait ces affaires nucléaires…extrait … :
« …/…M. Lacoste (le président de l’ASN) a précisé que l’ASN n’y a pas été associée. Mais elle n’exclut pas, comme cela a été le cas en Chine, d’exporter ses compétences…/… » Disait-il lors de ses vœux à la presse le 15/01 en évoquant les derniers trocs Nucléo-Arabiques Sarkoziens.[D]
A propos du téléguidage de ces centrales nucléaires, M. Lacoste précise que :
« …/… le pilotage à distance des centrales, sur lequel travaille le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) et qu’avait évoqué M. Sarkozy en Libye, assurant que l’on pouvait "désactiver depuis l’extérieur" un réacteur en cas de crise, ne lui semble pas la meilleure option, à supposer que les pays clients acceptent une telle …/… ». [D]
Pour un communicant de ce rang, oublier de consulter les spécialistes en télégestion de communication et de sécurisation !
Pour le nucléaire, décidément tout y est à l’avenant. La crise financière internationale qui ce profile aidant, et à peine le premier coup de pioche donné à Cadarache sur le site ITER, une dépêche de l’AFP nous apprend :
« …/… Les Etats-Unis vont suspendre cette année leur participation financière au projet international Iter, le futur réacteur de fusion thermonucléaire-…/… ». [E]
Aie ! aie aie ! Déjà un partenaire en manque de financement, et quel partenaire ! Ce projet de soleil éternel risque d’être sous peu lui aussi peut être enterré, et qui sait pour l’éternité. Car actuellement les États-uniens Américains ont certainement d’autre préoccupations, elles aussi et encore une fois mal chiffrées et probablement un peu trop vite hypothéquées. Les 160 millions de dollars de contribution des EU pour l’année 2008 au projet ITER [E] iront eux combler ces parts incongrues de ces trous financiers de ces pavillons sans fond !
Et ce n’est pas fini, car si les syndicalistes CGT énergie commencent eux aussi à ce poser les bonnes questions de sécurité ce que nous révèle une autre information, et sans la défigurer par mesure de probité :
« …/…La CGT mines-énergie a dénoncé jeudi la situation "précaire" des salariés prestataires d’EDF dans les centrales nucléaires, accusant l’électricien public d’ "organiser" le "roulement" des employeurs sous-traitants pour leur permettre "de ne pas reprendre tous les salariés"…/… »…………………………………………………
Ou encore :
« …/…EDF organise ce "roulement pour permettre à leurs employeurs de ne pas reprendre tous les salariés (dont souvent les représentants du personnel) et de ne pas maintenir leurs acquis sociaux (ancienneté, niveau de rémunération, convention collective moins favorable)", affirme la CGT. 20.000 salariés prestataires interviennent sur les 58 tranches nucléaires françaises au côté de 20.000 agents EDF../... ». [F]
Avec 50 % de sous traitants et/ou intérimaires, dans cette industrie nucléaire, comment réaliser des opérations de maintenances, de surveillances, de contrôles, de déconstructions et de démantèlements reposer sur des effectifs d’ouvriers et techniciens subordonnés à ces vendeurs de peurs ! Sans salaires de la peur !
Petite anecdote : [G]
Même les kangourous n’en reviennent pas, car les Australiens qui viennent dernièrement de changer de direction, ont eux annuler les contrats de livraisons d’uranium aux Indes.
Washington qui espérait de ces livraisons ainsi aider à contre carrer la puissance émergeante régionale que représente désormais l’Hyper Géant Chinois. Le Soleil Levant est en avant.
En résumé, toutes les séquences médiatisées de ces dernières semaines sur ce sujet sensible qu’est le nucléaire, n’auront pas servies à grand-chose sauf à réjouir les quelques dangereux rêveurs et promoteurs Nucléocrates de Cadarache.
Car les réalités politiques stratégiques énergétiques supposent de la part des tenants du pouvoir d’autres artifices que ces mirages aux alouettes d’un « Pipol-maniaque » dont ses compétences dans ce domaine énergétique, et j’oserais le dire : sont largement dépassées !
Skapad
[A] 16 & 17/01/2008 : AFP Un directeur d’Areva a quitté la Chine où il était retenu
[B] 17/01/2008 : Les Echos La facture post-Tchernobyl ne cesse d’augmenter (extrait)
…/…Ces fonds totalisent 2,5 milliards d’euros. A la BERD, on estime à la louche que le démantèlement des trois centrales Bohunice, Kozloduy et Ignalina se chiffrera entre 2 et 3 milliards d’euros, tandis que les sommes recueillies pour le sarcophage de Tchernobyl s’élèvent à 800 millions d’euros, le coût du projet complet étant évalué à 1,4 milliard d’euros…/…
[C] 17/01/2008 : AFP Niger La rébellion touareg dénonce l’accord entre Niamey et Areva
[D] 17/01/2008 : Le Monde Les pays émergents devront se former à la sûreté nucléaire
[E] 17/01/2008 : AFP Etats-Unis suspendent leur participation financière au projet Iter pour 2008
[F] 17/01/2008 : AFP Centrales nucléaires : la CGT dénonce la précarité des agents prestataires d’EDF
[G] 17/01/2008 : Indeinfos.com Nucléaire - L’Australie annule un contrat de livraison d’uranium à l’Inde
Mercredi 13 février 2008.
A lire a tout pris dans le Canard Enchainé de cette semaine :
Dans la rubrique « Plouf » le très bon article de Jean Luc Porquet,
« Atomique partout ! »
Le journaliste y fait une projection d’un avenir peu réjouissant issu de « …/..sa politique résolue de dissémination nucléaire. ».
Inutile de préciser le nom de ce pourvoyeur nucléaire, vous l’aurez deviné a l’agité.
Skapad.
« A lire a tout pris »
A tout prendre vaut mieux le bon prix.