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Ouest France - édition du lundi 29 octobre 2007

CHÂTEAULIN. - Depuis vingt-deux ans, la centrale nucléaire de Brennilis (Finistère) est un corps-mort inutile, mouillé dans la lande bretonne à quelques encablures de Châteaulin. En 1985, EDF a cessé son exploitation. Pas rentable, le réacteur utilisant la technologie obsolète de l’eau lourde. Pas assez puissant, surtout : 70 MégaWatts seulement, dix à quinze fois moins qu’un réacteur moderne à eau pressurisée.Sitôt le dernier Watt produit, les techniciens de l’atome se sont empressés de retirer et de mettre en lieu sûr le combustible nucléaire. Et Brennilis est restée en l’état. Une centrale fantôme seulement fréquentée par des équipes de maintenance et de sécurité, jusqu’à ce jour de 1997 où commença - enfin ! - la grande opération de son démantèlement.Pour qui est autorisé à franchir la double enceinte barbelée, la visite de la centrale - ou, plutôt, de ce qu’il en reste - est un curieux moment. À l’emplacement des bâtiments qui ont été rasés s’étendent de vastes pelouses. Ici, c’était le bâtiment des combustibles irradiés, relié au réacteur par des galeries souterraines. Là, la salle de pilotage du réacteur ou encore la salle des machines abritant turbines et alternateurs. Le béton des fondations a été tellement gratté que, pour compenser leur solidité moindre, un système de pompes a été installé. Elles diminuent la pression de la nappe phréatique, juste en dessous.

La cheminée et le dôme

Subsistent encore quelques hangars, la cheminée de ventilation, haute de 47 m. Et, surtout, le dôme abritant le réacteur qui écrase le site de sa masse bétonnée. À l’intérieur, on a fait place nette. Des kilomètres de tuyaux, de gaines et de câbles ont été évacués. Les traces laissées par les chalumeaux signalent les anciens points d’accrochage, tandis que des marques fluo attestent de l’inventaire minutieux qui avait été dressé. Dans la salle de chargement, le sas octogonal à damiers par où l’on introduisait les cartouches d’uranium est resté en l’état. De même les « bouteilles », seize cylindres en acier de vingt mètres de haut, les grandes orgues de la centrale où l’eau du réacteur était délestée de ses milliards de calories.Il y a deux mois, Brennilis était encore un chantier grouillant de monde. Aujourd’hui, il est rare d’y croiser un employé. Les travaux de déconstruction ont été stoppés après un recours déposé par Sortir du Nucléaire devant le Conseil d’État, pour un vice de procédure. Une quarantaine de personnes y travaillent encore, mais essentiellement dans les bureaux. Leur nombre sera bientôt réduit à vingt-cinq. « On solde les dossiers pour que le chantier puisse reprendre rapidement quand on aura le feu vert », explique Bertrand Dubuis, le directeur de la centrale. Car les gens d’EDF en sont persuadés : dans deux ans, le démantèlement redémarrera. Et, en 2020, il ne restera plus rien de l’ancienne centrale à eau lourde.

Marc MAHUZIER.

Forum

  • [presse] À Brennilis, la centrale nucléaire fantôme

    30 octobre 2007, par Skapad

    Commentaires a chaud de Skapad
    .../...Pas rentable, le réacteur utilisant la technologie obsolète de l’eau lourde. Pas assez puissant, surtout : 70 MégaWatts seulement, dix à quinze fois moins qu’un réacteur moderne à eau pressurisée...../...
    Quand nous vous disions que le procédé utilisé a Brennilis n’était pas rentable, surtout pour les 500 millions d’euros déja dépensé pour ces premières phases de déconstruction, car le niveau 3 n’est lui pas pret d’etre mis en évidence comptable, EDF a décidé de ne plus communiquer cette ligne bugétaire. De la a dire qu’ils voudraient nous caché le cout réel de cette production d’électricité, a vous de vous en faire la juste idée.
    .../...Le béton des fondations a été tellement gratté que, pour compenser leur solidité moindre, un système de pompes a été installé. Elles diminuent la pression de la nappe phréatique, juste en dessous..../...
    Une centrale nucléaire installée sur une nappe phréatique, rien de plus naturel, c’est ainsi que le théorème d’archimède nous révèle de l’extrème prudence de nos nucléocrates avertis, étonnant non, les shadocks n’auraient pas fait mieux, et ils pompèrent et ils pompèrent jusqu’a la disparition de toute contamination des nappes en question ?
    Déja qu’en Bretagne les agros bissness nous ont salopés nos ressources en eaux, le scoop ici décrit par OF n’est pas mal dans le genre, il faut noter que ce réservoir Saint Michel est une réserve d’eau située dans les Monts d’Arrée, il est irresponsable de la part des dirigeants d’EDF de cacher les taux de radioactivités sur cette ressource qui risque de nous échapper. Elle permet a ce jour a EDF de diluer ces taux sans pour autant etre capable d’admettre et de faire connaitre les réalités de cette contamination.
    .../...tandis que des marques fluo attestent de l’inventaire minutieux qui avait été dressé..../...
    Ce n’est pas tout a fait ce que dévoilait le rapport de l’ASN en juillet dernier, faudrait a ce que l’OF ce relise, a force pas étonnant que cette procédure d’enquète public n’interresse pas les foules (700 000 personnes sont concernées) si ce quotidien dit le tout et son contraire, ce n’est pas de l’information c’est plutot une page de publicité pour une entreprise pas capable de respecter les textes élaborés par les assemblées nationales et européennes , faut il le rappeler. EDF est condamnable et l’état français de mème , sinon a quoi servent ces assemblées de représentants démocratiquement élus ??
    .../...Les travaux de déconstruction ont été stoppés après un recours déposé par Sortir du Nucléaire devant le Conseil d’État, pour un vice de procédure..../...
    Ici il faut relire dans le bon sens, ce n’est pas SDN qui a arreté le chantier, mais bien le conseil d’état suite au recours de SDN. Ce n’est pas tout a fait la mème chose. La volonté de SDN est tout a fait légitime, la rédaction de ce papier elle l’est un peu moins.
    Ou quand une absence d’éxecution de procédure devient un vice de procédure, tout est dans la dialectique, les lecteurs de OF, et je l’espère, auront fait la correction d’eux mèmes.
    EDF EST RESPONSABLE DE LA SITUATION A BRENNILIS, L’ENSEMBLE DU PERSONNEL LICENCIE POUR DEFAUT DE PROCEDURE DEVRAIT ETRE INDEMNISE A 100 %
    SACHANT QUE LA PLUPART D’ENTRE EUX SONT EMPLOYES PAR CONTRATS PRECAIRES !!
    AVEC UN TAUX DE SOUS TRAITANCE APPROCHANT LES 80 % EDF EST UN GROUPE INDUSTRIEL QUI PRATIQUE ICI SUR CE CHANTIER A UNE BALKANISATION DE CES TRAVAUX DE DECONTAMINATION, CERTAINEMENT POUR UN GAGE DE SECURISATION OPTIMUM ? ET EN PLUS ILS DONNENT DES LECONS, SACRE BANDE DE DANGEREUX PATACHONS A IONS !!!
    HALTE A LA PUBLICITE MENSONGERE DES INDUSTRIELS NUCLEAIRES !
    Skapad

  • [presse] À Brennilis, la centrale nucléaire fantôme

    2 novembre 2007, par Skapad

    vendredi 2 novembre 2007 (15h02) : Brennilis :
    EDF tente de "rattraper" SES FAUTES... !
    Communiqué AE2D
    Introduction de Skapad :
    Il est a noté que ce communiquer a ce jour n’a pas encore été publié, la presse catho régionale aurait elle perdue sa foie, le néni ou le béni oui oui de nos journalistes chrétiens a l’encontre des nucléocrates ressemble fort a du "mensonge" envellopé dans un discours ahurissant de mauvaise technicité de propreté.
    Le jour, ou le soir, du grand pardon, le bon Dieu si pour peut qu’il soit antinucléaire sera le leur rappeler : cette mensongère information, ou plutot cette mensongère publicité. Mais faut bien l’admettre : les voies du Seigneur ainsi que les égos surdévellopés de nos NUCLEOCRATES sont du mème tenant, imprévisibles et incompréhensibles, voir irresponsables et outrageusement préremptoires.
    L’opacité de ce secteur nucléaire était déja connu. L’enquète d’utilité public politiquement oubliée par EDF et l’ETAT FRANCAIS et qui doit etre mise a la disposition des 700 000 citoyens du Finistère dans les mois a venir, est très mal partie pour sa lisibilité, de cette manière en multipliant les rencontres et déjeuners offerts par l’EDF, la presse locale va occulter les faits principaux relevés par l’ASN l’été dernier(voir ci dessous).
    Il serait souhaitable, qu’a chaque publication ou pour tous les articles publiés dans nos journaux, systématiquement les rédactions de nos quotidiens fasse également le rappel des incohérences et les manques de vigilances de l’exploitant national. Si cette démarche n’est pas appliquée, la presse locale sera a considérer comme étant a la solde uniquement d’une des parties concernées par ce chantier. Et c’est ainsi que la démocratie d’opinion en prend des coups sur les nions.
    Il est "probable !" que nos journaux locaux n’aimeraient surtout pas ce rendre coupable de collaborationisme a l’endroit d’un industriel peu respectueux des textes inscrits et rédigés par les représentations nationales et européennes.
    Skapad
    ........................................
    COMMUNIQUE DE l’Association AE2D suite a l’article de Ouest France du 29/10/2007
    Démantèlement de Brennilis : EDF tente de "rattraper" ses fautes
    Après l’annulation, par le Conseil d’Etat, du décret d’autorisation de la troisième phase, EDF a dû modifier le déroulement des opérations prévues pour un démantèlement prétendu exemplaire et devant servir de vitrine.
    En plus de ce triste "raté", EDF vient d’être "épinglée" par l’ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire) suite à une inspection qui a constaté de graves anomalies. Après avoir tenté de discréditer des associations, membres de l’observatoire du démantèlement de la centrale, ayant fourni les éléments pour le recours en Conseil d’Etat, une partie des salariés de la centrale, en accord avec leur direction, ont accusé ces associations d’être la cause des conséquences de l’annulation du décret sur les activités de la centrale et sur l’emploi. Ils se sont trompés de cible, le seul responsable est leur employeur, EDF !
    Depuis l’été, EDF tente de "rattraper" les fautes qui ont sérieusement terni l’image d’exemplarité qu’elle voulait présenter dans ce démantèlement, en faisant visiter le site par des journalistes, en lançant une prétendue "lettre d’information externe de la centrale, Expli’site", en annonçant une prochaine réunion de l’observatoire pour le mercredi 28 novembre à 10h00 suivie d’une visite du site et d’un déjeuner...
    Par contre, silence sur les questions qui dérangent concernant le non achèvement des travaux prévus dans la seconde phase du démantèlement, le choix de ne pas vraiment prendre en considération des questions que pose la CRIIRAD (Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la RADioactivité) suite à des analyses radiologiques d’eau et de plantes en aval de la centrale et qui révèlent, notamment, la présence d’un radioélément très toxique : l’Actinium 227. Selon EDF, qui évite le mot contamination : "l’hypothèse d’une contribution des bétons activés du site à l’apport d’actinium 227 dans l’environnement n’est pas retenue compte tenu des caractéristiques de l’installation et de l’état d’avancement des travaux."
    Face à cette situation AE2D renouvelle donc sa demande (ci-jointe), du 4 janvier 2007, de création d’une CLI (Commission Locale d’Information) de démantèlement de la centrale de Brennilis, conformément à la loi n° 2006-686 du 13 juin 2006, relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire. Par ailleurs, AE2D souligne que, lors de la réunion du "Grenelle de l’environnement" le 16 octobre à Brest, elle a présenté un cahier de doléances, parmi lesquelles celles relatives au démantèlement de la centrale de Brennilis.
    Cordialement, les co-Présidents, Roger Abiven et Alain Le Suavet
    Agir pour l’Environnement et le Développement Durable
    Locaux associatifs – 10 rue Hegel - 29200 BREST
    Tel – Fax : 02.98.49.53.92 – Courriel : ae2d.29@gmail.com
    Site : http://www.ae2d.infini.fr
    Association agréée au titre de la protection de l’environnement pour le Finistère.
    Association lauréate du trophée Développement Durable 2006.
    Monsieur Pierre Maille Président du Conseil Général du Finistère 32 boulevard Dupleix 29000 Quimper
    Brest, le 4 janvier 2007
    Objet : demande de création d’une commission locale d’information du démantèlement de la centrale nucléaire de Brennilis
    Monsieur le Président,
    Après avoir pris connaissance de la loi n° 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire, nous nous sentons concernés par l’application de cette loi, notamment en tant que membre de l’Observatoire du démantèlement de la centrale nucléaire de Brennilis, ce qui nous conduit à vous demander, concernant Brennilis, la création de la Commission locale d’Information conformément aux dispositions de cette loi et plus particulièrement celles de l’article 22 qui dit :
    “la Commission locale d’Information est créée par décision du Président du Conseil Général du département dans lequel s’étend le périmètre de l’installation….” La création de cette commission doit être, à notre avis, menée dans l’urgence, compte tenu :
    • de faits survenus dans le déroulement du démantèlement de cette centrale (cf. diverses communications, internes ou externes à l’observatoire, dont vous avez pu prendre connaissance)
    • de résultats d’études et d’analyses réalisées par des laboratoires révélant des “ surprises ”, (situation radiologique “atypique” selon l’exploitant EDF), ...
    Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos sentiments respectueux et de notre considération distinguée.
    Les co-Présidents Roger Abiven et Alain Le Suavet
    ........................................
    Note de Skapad
    Alors Pierre, tu en es ou de ta commission, allez au boulot, si tu veux que les socialos garde le cap ! du Finistère, dans le centre Bretagne tu nous connait on est cap.. de pas mal de ramdame.
    Dans l’attente de ta volonté, cordialement Skapad

  • Iter, en route pour reproduire l’énergie des étoiles !

    12 novembre 2007, par Skapad

    vendredi 9 novembre 2007 (22h34) :
    Iter, en route pour reproduire l’énergie des étoiles !
    20 commentaires (au 11/11/07)
    08/11/2007 : Le Figaro- et commentaires écolos-satiriques de Skapad - Faut il en rire ?
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    L’organisation internationale a défini hier avec la France les modalités de mise en œuvre du projet.
    De notre envoyée spéciale à Cadarache (Bouches-du-Rhône)
    Au milieu des 180 hectares de garrigue déboisés de Cadarache, à l’épicentre du site où va être implanté le futur réacteur expérimental de fusion nucléaire Iter, flottent désormais sept drapeaux, représentant les partenaires (*) de ce projet pharaonique (A) .
    Symboles de la coopération internationale, ils ont assisté hier, comme autant de paires d’yeux, à la signature de l’« accord de siège » entre la France et l’organisation internationale Iter. « Non seulement nous donnons au monde la première marque tangible de l’existence de l’organisation Iter […], mais nous franchissons aussi un nouveau pas vers la réalisation d’un rêve (B) , un pas décisif (C) », a lancé le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Valérie Pécresse, à cette occasion.
    Ce rêve, c’est celui de parvenir à reproduire l’énergie des étoiles par le biais de la fusion nucléaire. Le principe est de faire fusionner des noyaux d’hydrogène à 100 millions de degrés. Un projet fou (D) , auquel travaillent d’arrache-pied les scientifiques du monde entier, avec l’espoir de trouver une solution à la crise énergétique mondiale. D’où l’idée de mettre en commun les efforts de recherche de tous les pays intéressés.
    Après les expériences menées avec succès ici ou là par une vingtaine de tokamaks, l’idée est cette fois de construire un prototype unique pour démontrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion à grande échelle. Telle est la vocation d’Iter, dont la puissance sera dix fois supérieure au JET, le plus puissant réacteur de fusion actuel établi en Grande-Bretagne.
    Premiers essais en 2016 (E) . Signé en novembre 2006, le projet a finalement, au terme d’une âpre bataille avec le Japon, élu domicile dans le sud de la France. Le traité venant d’entrer en vigueur le 24 octobre dernier, l’organisation Iter peut se mettre en place. D’où la signature hier de ce contrat avec la France, pour préciser les engagements respectifs de chacun, notamment le respect de la sûreté nucléaire pour Iter et la mise à disposition du terrain de 180 hectares pour l’État français. Le premier conseil d’Iter se tiendra les 27 et 28 novembre.
    Si la première pierre du bâtiment doit être posée en 2009 (F) , le chantier a déjà démarré, comme en témoignent pelleteuses et baraquements.
    La viabilisation du site par l’Agence Iter France devrait être terminée d’ici à fin 2007 et les grands appels d’offres bientôt conclus (plus de 200 contrats, dont 130 pour le matériel et 90 d’ingénierie). « L’État va pouvoir lancer en décembre l’itinéraire grand gabarit, route de 110 km reliant Fos-sur-Mer à Cadarache, par lequel transiteront 300 convois (G)en cinq ans pour acheminer les équipements fournis par les partenaires internationaux (H) , qui seront installés de 2012 à 2014 », explique Hubert Derache, sous-préfet d’Aix-en-Provence. Une école internationale devant accueillir à la rentrée 2009 un millier d’élèves (pour 3 200 employés (I-1) en phase d’exploitation) a déjà ouvert ses portes à Manosque, avec 100 élèves (I-2) .
    La machine doit procéder à ses premiers essais en 2016 (J) . Mais rien ne garantit que les scientifiques parviennent un jour à produire un courant continu avec la fusion à des conditions rentables. « Il faudra au moins vingt ans pour le savoir » (K) , affirmait son directeur général, le Japonais Kaname Ikeda, lors de la signature du traité, aucune exploitation n’étant envisageable avant 2050. (L)
    Certains – comme le réseau Sortir du nucléaire , qui appelle à manifester contre Iter samedi à Marseille – stigmatisent le caractère aléatoire du projet, au coût exorbitant (10 milliards d’euros). Tout comme la conquête de l’espace, Iter a donc tout d’une véritable aventure scientifique. ( M )
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    Commentaires
    Une aventure c’est le moins que l’on puisse dire, c’est bien écrit ça a l’air propre, et ça va rapporter gros tous ces camions en surconsommation. Du béton et des radiations a profusion. Production de machine sans garantit de résultats, faut le faire !
    A : Ah ! C’est de ça qu’il sagit ? C’est le sarkophage d’Armaguedon alias Zébulon dit l’Agité ?
    B : J’ai rêvé d’un monde un jour débarrassé de ces déchets d’éternité, des radiations pour les rejetons de nos petits rejetons ! Sacré pyramide à leur laisser.
    C : Décisif, faudra voir en 2016, si tout va bien ! Il y a eu déjà des précédents a fondre du sel et surtout beaucoup d’argent. Le Sphinx aurait été mieux approprié pour le nommé. De Phénix à Iter, on nage en pleine mythologie grec quo-électronucléaire !
    D : Si le Figaro le dit, c’est que quand même c’est vachetement fou ! Des étoiles et des soleils a disposition pour l’éternité ! AAAhh ! L’Illusion !! A AAAhh !L’Illusion !! A AAAhh !L’Illusion !!
    E : Si leur planning est aussi précis que sur le chantier de l’EPR Finlandais (chantier en principe maitrisé car en phase de construction industrielle : 2 ans de retard- 1.5 milliards d’euros de dépassement), il faudra a mon avis plutôt attendre 2020 voir 2025, sans compter les arrêts pour cause de surcout de facturation chantier, voir manque de budget. Ces pratiques sont souvent pratiques. Les bénefs ça, ça n’a pas de prix.
    F : 2009, 2 ans pour nous habituer à ce premier caillou, c’est sur faut au moins ça. Il n’est jamais trop tôt pour nous en parler, de cette première pierre d’Iter !
    G : Pour l’effet serre c’est Super Iter.
    H : A MB, le bétonneur et accessoirement encocacoleur le génie civil et les TP, la technique pour les internationaux. Et les déchets, ils seront quoi ? Interplanétaire ou Intergalactique ? En tout cas le pote de l’Agité, sans le nonner : Bouygues y peut ce frotter les mains, des télés y va pouvoir les multiplier, de ces boites d’images à bêtises pour cerveau encocalisé.
    I 1 & I 2 : Plus de 3000 (1000 sur Le Monde ! des estimions à gogo !)salariés en exploitation ? Mais alors c’est que ça va marcher ? Pour appâter en tous cas c’est un peu léger que de commencer à si petite quantité si peu élevés
    J : J comme Je l’ai déjà mentionné, cela dépendra des appétits de devis !
    K : Rien n’est garantit ? Si une chose est certaine tout cet argent aura été dépensé sans aucune assurance de résultat adéquat ! Juste du pognon jeter dans les cuves à béton du susnommé encocaliseur, sans le nonné : Martin de son prénom.
    L : L comme Loin devants, pour cette date il faut également en rajouter quelques années, 2060 à 2070 si tout va bien. De la prévoyance énergétique, ou de science fiction pour nucléocrates à l’imaginaire rattraper par des ET d’idées d’éternité.
    M : M comme Ma Doué ! Ils ce prennent pour le bon Dieu celui des Cieux ! Ma Doué !
    De : Le Figaro & Skapad